A quoi servent nos connaissances ?

bonjour voici une petite anecdote pour remonter le moral de ceux qui ne savent pas comment utiliser leur "maîtrise" de Google,
J'ai eu un nombre de problèmes incalculable avec un ordinateur portable d'une grande marque, si bien que le sav a un jour refusé de faire fonctionner la garantie, sans justification. J'ai écrit des mails, des fax pendant quatre semaines, personnes ne m'a jamais répondu.
J'ai alors employé la manière forte : une page optimisée pour les mots-clés "achat portable" et "achat portable [nom de la marque]" où je racontais mes déboires. En quelques jours, la page est arrivée en 1e position chez google pour ces deux requêtes et dans la foulée, le responsable clientèle france m'a contacté pour me proposer le remboursement de la machine (je ne pas donner le nom car il y a 4 ou 5 semaines d'attente avant le paiement), alors qu'elle n'est en principe plus couverte par la garantie, et il m'a également envoyé une imprimante "en dédommagement du préjudice subi".

 

Effectivement, il y avait un risque, mais je me suis dit que je n'avais rien à perdre. Si la multinationale m'avait attaqué, j'aurais contacté les journalistes (un de mes collègues à Centreurope a d'excellentes entrées dans les médias, il a même été invité au 20 h 30 de Claire Chazal). Jje suis sûr que certains journalistes auraient trouvé l'histoire intéressante (on aime bien défendre le petit contre la multinationale ). Ca m'aurait fait une bonne pub et une très mauvaise pour la multinationale.

 

pour la presse, dès que l'on fait soi-même l'article et qu'on le donne aux journalistes, on a beaucoup de chances d'être publié. Il y a une majorité de pigistes qui doivent faire du volume et sont bien contents d'être aidés.
Je vois par exemple la semaine prochaine un journaliste de Femme actuelle qui ne connaît pas trop les pays de l'Est mais qui veut faire un sujet sur l'élargissement. Je lui fais le boulot (ou une partie du boulot) et en contrepartie, j'ai le nom de mon site sur les 1,5 million d'ex. du mag.
Et je pense qu'avec Google, c'est pareil. Les journalistes sont intéressés mais ne connaissent pas trop. Mais je suppose que WRI a dû déjà passer dans beaucoup de médias de cette manière.