Nouveau WRInaute
Bonjour.
1. Voilà, je vais parler de l'administration, celle du ministère public, notamment celui du ministère desd affaires étrangères.
Il édite sous spip. Les ambassades de france éditent aussi sous spip. Certaines d'entre elles, en vue de rédiger un bulletin de presse, recopient allègrement les articles de la presse locale. Le copyright l'interdit formellement. Il est interdit de publier, et aussi de traduire textuellement ce qui n'est pas le fruit de son travail.
Pour la citation de la presse locale, c est possible en france, avec le conseil d'Etat qui en fait une exception, mais pas à l'étranger, où le droit administratif n'existe pas et ne défend pas l'administration.
Concrêtement, imaginez vous qu'une institution étrangère ou francaise vous prend vos articles et les copie, les traduis, vous etes d'accord ? je ne pense pas.
2. L'administratiin n'a pas de droit d'auteur.
En effet, le copyright est un droit patrimonial qui s'applique aux personnes privées, particuliers et entreprises privées.
Ce droit n'existe pas dans le champs de la propriété du domaine public.
Donc, tous les articles d'une institution sont exploitables, copiables, diffusables, et cela sans devoir et encore moins annoter de référencesd aux sites des adminsitrations publiques.
cf copyright ici : http://fr.wikipedia.org/wiki/Droit_d'au ... atrimonial
3. Un autre problème : la sphère d'intervention du service public.
L'administration publique a un champs restreint d'intervention, elle ne peut pas empiéter sur la sphère du domaine privé notamment quand il n 'y a pas de carence à cet égard et qu'un intérêt public existe.
En résumé, créer un ou des magasines de presse quotidienne, en plagiant ( même si on fait que traduire ) la presse locale ( qui a aussi des webmagasines, et sans leur accord ), pour que le résultat de ce travail soit facilement exploitable par le reste du monde... c'est un peu du tout et n'importe quoi qui nous provient encore de l'adminsitration publique.
Et bien evidement, ces sites des administrations qui entravent l'initiative privée, ils sont financés par le contribuable francais qui adore payer plein d'impot pour des bureaucrates qui en glandent pas une !
Bien sûr, il s 'agit de sites propre à l'administration française, cela n'existe nul part ailleurs.
1. Voilà, je vais parler de l'administration, celle du ministère public, notamment celui du ministère desd affaires étrangères.
Il édite sous spip. Les ambassades de france éditent aussi sous spip. Certaines d'entre elles, en vue de rédiger un bulletin de presse, recopient allègrement les articles de la presse locale. Le copyright l'interdit formellement. Il est interdit de publier, et aussi de traduire textuellement ce qui n'est pas le fruit de son travail.
Pour la citation de la presse locale, c est possible en france, avec le conseil d'Etat qui en fait une exception, mais pas à l'étranger, où le droit administratif n'existe pas et ne défend pas l'administration.
Concrêtement, imaginez vous qu'une institution étrangère ou francaise vous prend vos articles et les copie, les traduis, vous etes d'accord ? je ne pense pas.
2. L'administratiin n'a pas de droit d'auteur.
En effet, le copyright est un droit patrimonial qui s'applique aux personnes privées, particuliers et entreprises privées.
Ce droit n'existe pas dans le champs de la propriété du domaine public.
Donc, tous les articles d'une institution sont exploitables, copiables, diffusables, et cela sans devoir et encore moins annoter de référencesd aux sites des adminsitrations publiques.
cf copyright ici : http://fr.wikipedia.org/wiki/Droit_d'au ... atrimonial
3. Un autre problème : la sphère d'intervention du service public.
L'administration publique a un champs restreint d'intervention, elle ne peut pas empiéter sur la sphère du domaine privé notamment quand il n 'y a pas de carence à cet égard et qu'un intérêt public existe.
En résumé, créer un ou des magasines de presse quotidienne, en plagiant ( même si on fait que traduire ) la presse locale ( qui a aussi des webmagasines, et sans leur accord ), pour que le résultat de ce travail soit facilement exploitable par le reste du monde... c'est un peu du tout et n'importe quoi qui nous provient encore de l'adminsitration publique.
Et bien evidement, ces sites des administrations qui entravent l'initiative privée, ils sont financés par le contribuable francais qui adore payer plein d'impot pour des bureaucrates qui en glandent pas une !
Bien sûr, il s 'agit de sites propre à l'administration française, cela n'existe nul part ailleurs.