Le parcours d'un novice sur le web est écrit par Dominique Nugues peintre-écrivain.
L'article est mis à jour, régulièrement, suivant le pas à pas de la création de son site par l'auteur. Il s'agit donc d'un retour immédiat d'expèrience, sans autre prétention.
De plus l'avis des wrinautes est passionnant, vous qui découvrez et venez pour vous faire une idée; lisez les discussions dans leur intégralité, les avis divergent.
Chapître 1
Soumettre aux robots : oui; se soumettre aux robots : non
Préambule
On pourrait, à juste titre, penser que algorythme et poésie ne font pas bon ménage et sont antinomyques.
Ce doit être assez vrai dans l'ensemble. Mais il existe une tradition dans la poésie où ça n'est pas le cas.
On peut d'ailleurs considérer que les règles de la poésie, très complexes et très strictes, édictées au XVIe siècle notamment par un natif de Caen : François de Malherbe, ne sont pas sans rapport avec la "rigueur" et la "logique" qui prévalent en mathématiques.
Plus tard, Charles Cros était mathématicien et poète, et pas des moindres.
Et surtout, au XXeme siècle, l'"Oulipo" fondé par Raymond Queneau, un autre natif de Normandie (Le Havre - 1903) intégrait la contrainte mathématique à l'écriture poétique.
Ceci a donné un ouvrage incroyable : "Cent Mille milliards de poèmes".
Un livre qui contient effectivement potentiellement Cent 1000 milliards de poèmes en quelques pages !
Deux autres membres de l'Oulipo ont produit des textes également célèbres, avec contraintes :
Georges Perec. Notamment avec le très connu, très joué, et très cité "Je me souviens" qui était une reprise de "I remember" d'Harry Matthews, New Yorkais, lui-aussi membre de l'Oulipo. Harry Matthews travaille beaucoup à partir d'algorythmes pour sa poésie.
(Oulipo : Ouvroir de Littérature Potentielle fondé par Raymond Queneau et François Le Lionnais, ce groupe se réunit pour la première fois en 1960 et se réunit toujours)
Présentation de Dominique Nugues.
Je suis issu du monde artistique et culturel. Ecrivain et peintre, j'ai suivi le parcours normal d'une telle activité.
Depuis plusieurs années, toutefois, je m'intèresse à internet, comme moyen de diffusion de mon travail.
J'ai ouvert un premier site, il y a 4 ans. Rien à en dire, il s'agissait d'une vague vitrine.
Ensuite, j'ai ouvert un site qui se voulait plus professionnel : vente en ligne etc... J'ai construit le site avec un "wysiwyg" bien connu, ce site était hébergé chez un intégrateur caennais.
Ce fut un échec du point de vue commercial, lié à une conception erronnée et à un manque de compréhension en profondeur, des logiques internet.
Bref.
Ces deux sites sont fermés.
J'ai repris tout le processus à la base.
J'ai travaillé seul, me suis mis au html, au css et à essayer de comprendre le référencement.
J'ai construit art-nugues, entièrement "à la main".
Je dois dire que c'est pour moi une grande satisfaction intellectuelle.
Je ne dissocie pas mon travail numérique du reste de mon activité. Cela fait partie de mon "oeuvre".
Retour d'éxperience
Je fais part, ici et maintenant, de quelques enseignements que j'ai pu tirer de mon expérience en tant qu'écrivain associé au référencement de nombreux sites chez un intégrateur normand.
Pour la création de mon nouveau site, j'ai repris les notes de mon expérience et la lecture d'ouvrages de base.
J'ai mis en forme ces informations pour moi-même. A la réflexion, elles peuvent intéresser d'autres personne,
je les livre donc telles quelles.
En premier lieu, il importe de bien différencier les notions de référencement et celles de marketing.
D'ailleurs Google fait bien la distinction en proposant des services complètement différents et bien séparés.
Le marketing est une branche de la communication commerciale, en plein développement et en expansion économique exponentielle.
Les origines
Le référencement reste et restera ancré dans les principes fondateurs d'Internet et du Web.
Au premier rang de ces principes, le partage d'informations, de connaissances, la collaboration active et productive entre les utilisateurs du Web.
L'intérêt des moteurs et des sociétés qui les détiennent est de fournir aux internautes des contenus cohérents, riches, sincères en adéquation avec les requêtes des utilisateurs.
Ceci est fondamental pour leur crédibilité, leur efficacité, leur pérennité, donc leur développement.
Le fond de commerce des moteurs est la fourniture d'informations de qualité aux internautes et rien d'autres.
Encore une fois, il est essentiel de ne pas confondre référencement et marketing.
En sachant tout de même que sans les millions de pages de référencement, contenu véritable des moteurs,les annonces spécifiquement publicitaires n'auraient pas d'impact puisque
personne ne viendrait sur ces pages.
C'est la logique des moteurs,c'est la chance des référenceurs.
Trois règles que je m'efforce d'appliquer :
1) Un site, son contenu, son référencement doivent être pensés, mis en forme, écrits pour les internautes et eux seuls. A terme, les moteurs s'adaptent, évoluent. Le temps est l'allié du référenceur mais il peut devenir son ennemi. Si l'impatience du référenceur le pousse à forcer, truquer les principes du référencement.
2) La sincérité du rapport entre contenu et mots-clés est essentielle.
A la limite, il ne devrait pas y avoir de différence entre les deux. Si pour faire connaître un article sur une découverte en biologie, le référencement triche en ratissant de façon non sincère, en intégrant des mots-clés sans rapport avec le contenu, ce n'est pas l'intérêt des internautes, donc pas l'intérêt des moteurs, donc pas celui des éditeurs de sites.
3) L'environnement "culturel" et sémantique.
Un site, en plus d'être un fournisseur unique d'informations pour les internautes, se doit d'être un carrefour informatif précis et large sur les sujets dont il traite. Les liens entrants et sortants doivent impérativement créer une cohérence éditoriale, une référence sur un sujet. Pour en revenir à l'exemple de l'article sur la découverte en biologie, le réseau créé par les liens entrants et sortants, internes et externes du site, doit donner de l'information complémentaire, et ne pas envoyer sur des sites de collectionneurs de modèles réduits par exemple. C'est vrai pour les liens entrants aussi, évidemment.
Ceci oblige le référenceur à connaître, analyser l'environnement sans systématiquement considérer les concurrents comme des importuns à éliminer mais davantage comme des collaborateurs à intégrer.
Créer un site, c'est d'abord partager, faire connaître des contenus.
Ce n'est pas d'arriver le plus rapidement possible en haut des listes, même si c'est l'objectif de long terme.
Le long terme, donc le temps, est l'allié du référenceur. Je le redis. Ou son ennemi, pour les impatients.
On peut écrire avec des contraintes très lourdes, mots obligés, répétitions, récurrence, synomymes etc...tout en produisant du sens et du "beau"( beau : au sens de la tradition philosophique).
Voilà une idée qui me rappelle quelquechose et qui peut servir.
Chapître 2
Le nombre de réactions à mon article sur le parcours d'un novice, m'a impressioné. J'en remercie chacun. Je ne m'attendais pas à tant. Cela prouve l'éfficacité de WRI.
J'ai mis en ligne un site, et je vais en mettre d'autres en domaine ou sous-domaine complémentaires et en adéquation avec le premier. Cela me permet de hiérarchiser mes travaux et de les exposer plus largement, plus logiquement.
De rendre l'arborescence plus clair, plus pratique, et, pour l'avancée de mon travail, et, pour la navigation et le bien-être des utilisateurs.
Mes travaux à exposer tournent autour de l'écriture et la peinture.
Le premier site est centré sur mon activité générale,c'est la plate-forme autour de laquelle s'articule les autres sites.
Les autres seront plus spécifiquement axée sur les créations récentes, en matière de peinture et d'écriture.
L'idée générale qui me guide : est de créer une sorte de "site-oeuvre", où tout ce que je souhaite publier soit exposé. Comme dans une galerie avec plusieurs pièces, une librairie etc...
La totalité des compartiments du site est en accès libre. J'ai fait, l'expérience de zone payante, avec mot de passe etc... Ce fut un échec. En partie parceque c'était trop compliqué. Mais en partie aussi parceque, cela n'est pas l'esprit Internet, du moins dans la sphère de la culture et de l'art.
La question économique est un sérieux problème pour ce genre de site. C'est vrai. J'y reviendrai.
Je me propose, donc, de tenir ici, le "journal" de l'évolution de mes sites et du positionnement de combinaisons de mots-clés : par exemple : "peintre,écrivain". Axe de communication de mon identité professionnelle et artistique.
A titre d'exemple cette combinaison : peintre écrivain arrive après une dizaine de jours de mise en ligne, en 12eme position sur Google sur un total de résultats de 2980000. Alors que le combinaison écrivain peintre n'arrive que 128eme sur environ 2500000 résultats.
J'ai eu la surprise de le voir, 3 ou 4 jours après, arriver en 1ere page. En fait 2 pages,réalisations/html et /index.html, sont indéxées avec des positionnements différents. Peut-être ces positionnements reculeront-ils?
Quelques conseils directement issus de mon expèrience très récente.
1) Lire des ouvrages de base, livres ou revues sur l'histoire d'internet. Ceci afin de connaître, sinon le sens exact, du moins avoir une idée de, par exemple : DNS, FTP, PR, URL, backlink, balises, protocoles,IP...Tous ces mots sont expliqués dans le lexique de WRI.
2) Se familiariser avec avec le langage HTML et CSS. Même en travaillant avec un logiciel de création de sites, cela permet de comprendre ce qui se passe.
Et si vous faîtes appel à des spécialistes, de discuter des propositions techniques. Ainsi de créer un site aux fonctionnalités nécéssaires mais suffisantes à vos besoins.
Je reviens d'un mot sur le html et le CSS, au début, cela apparaît totalement abscons. Il est vrai qu'il faut s'y faire. Mais ce n'est pas si compliqué que cela. Le CSS non-plus qui permet de donner la patte, le design à votre site.
Personnellement j'écris tout le code, avec un petit éditeur de code très pratique, très connu et gratuit.
3) Choisir avec le plus grand soin son hébergeur. Cela peut faire évoluer votre entreprise de création vers le cauchemar ou vers une activité plaisante.
Il existe des sites de guide comparatif d'hébergeurs, je m'y suis fié, je ne le regrette pas.
4) Dans les forums de WRI, vous trouverez des réponses à la plupart des questions. Lisez aussi, les glossaires, les lexiques. Et si vous ne comprenez pas, inscivez vous aux forums. Les Wrinautes vous répondront.
Je ne suis pas là, pour faire la publicité de WRI, j'ai découvert ce site, il y a un mois, il m'a été utile, très utile. C'est tout. Je lui retourne le service.
5) Prendre son temps, tester, observer, refaire.
Tout le monde sait-il, par exemple, que lorsque vous êtes sur un site, dans la barre en haut dans le menu "Affichage", en cliquant sur "voir code source" vous voyez effectivement le code intégral d'une page?
L'indexation, donc le référencement, donc le positionnement, ne sont pas magiques. Ils sont le résultat de l'écriture des pages HTML. C'est la base.
Après, a mon avis, il s'agit davantage de communication voire de marketing (ce qui n'est pas une mince affaire non-plus)
Pour conclure provisoirement,
Comme Hercule Poirot, je conseille de, toujours, faire marcher "ses petites cellules grises". De rester maître de son projet, dans le plus de domaines possibles.
Et de prendre son temps. Le temps n'est pas une variable. Si on le bouscule, il se venge et fait très mal.
Amicalement à tous
Dominique Nugues
L'article est mis à jour, régulièrement, suivant le pas à pas de la création de son site par l'auteur. Il s'agit donc d'un retour immédiat d'expèrience, sans autre prétention.
De plus l'avis des wrinautes est passionnant, vous qui découvrez et venez pour vous faire une idée; lisez les discussions dans leur intégralité, les avis divergent.
Chapître 1
Soumettre aux robots : oui; se soumettre aux robots : non
Préambule
On pourrait, à juste titre, penser que algorythme et poésie ne font pas bon ménage et sont antinomyques.
Ce doit être assez vrai dans l'ensemble. Mais il existe une tradition dans la poésie où ça n'est pas le cas.
On peut d'ailleurs considérer que les règles de la poésie, très complexes et très strictes, édictées au XVIe siècle notamment par un natif de Caen : François de Malherbe, ne sont pas sans rapport avec la "rigueur" et la "logique" qui prévalent en mathématiques.
Plus tard, Charles Cros était mathématicien et poète, et pas des moindres.
Et surtout, au XXeme siècle, l'"Oulipo" fondé par Raymond Queneau, un autre natif de Normandie (Le Havre - 1903) intégrait la contrainte mathématique à l'écriture poétique.
Ceci a donné un ouvrage incroyable : "Cent Mille milliards de poèmes".
Un livre qui contient effectivement potentiellement Cent 1000 milliards de poèmes en quelques pages !
Deux autres membres de l'Oulipo ont produit des textes également célèbres, avec contraintes :
Georges Perec. Notamment avec le très connu, très joué, et très cité "Je me souviens" qui était une reprise de "I remember" d'Harry Matthews, New Yorkais, lui-aussi membre de l'Oulipo. Harry Matthews travaille beaucoup à partir d'algorythmes pour sa poésie.
(Oulipo : Ouvroir de Littérature Potentielle fondé par Raymond Queneau et François Le Lionnais, ce groupe se réunit pour la première fois en 1960 et se réunit toujours)
Présentation de Dominique Nugues.
Je suis issu du monde artistique et culturel. Ecrivain et peintre, j'ai suivi le parcours normal d'une telle activité.
Depuis plusieurs années, toutefois, je m'intèresse à internet, comme moyen de diffusion de mon travail.
J'ai ouvert un premier site, il y a 4 ans. Rien à en dire, il s'agissait d'une vague vitrine.
Ensuite, j'ai ouvert un site qui se voulait plus professionnel : vente en ligne etc... J'ai construit le site avec un "wysiwyg" bien connu, ce site était hébergé chez un intégrateur caennais.
Ce fut un échec du point de vue commercial, lié à une conception erronnée et à un manque de compréhension en profondeur, des logiques internet.
Bref.
Ces deux sites sont fermés.
J'ai repris tout le processus à la base.
J'ai travaillé seul, me suis mis au html, au css et à essayer de comprendre le référencement.
J'ai construit art-nugues, entièrement "à la main".
Je dois dire que c'est pour moi une grande satisfaction intellectuelle.
Je ne dissocie pas mon travail numérique du reste de mon activité. Cela fait partie de mon "oeuvre".
Retour d'éxperience
Je fais part, ici et maintenant, de quelques enseignements que j'ai pu tirer de mon expérience en tant qu'écrivain associé au référencement de nombreux sites chez un intégrateur normand.
Pour la création de mon nouveau site, j'ai repris les notes de mon expérience et la lecture d'ouvrages de base.
J'ai mis en forme ces informations pour moi-même. A la réflexion, elles peuvent intéresser d'autres personne,
je les livre donc telles quelles.
En premier lieu, il importe de bien différencier les notions de référencement et celles de marketing.
D'ailleurs Google fait bien la distinction en proposant des services complètement différents et bien séparés.
Le marketing est une branche de la communication commerciale, en plein développement et en expansion économique exponentielle.
Les origines
Le référencement reste et restera ancré dans les principes fondateurs d'Internet et du Web.
Au premier rang de ces principes, le partage d'informations, de connaissances, la collaboration active et productive entre les utilisateurs du Web.
L'intérêt des moteurs et des sociétés qui les détiennent est de fournir aux internautes des contenus cohérents, riches, sincères en adéquation avec les requêtes des utilisateurs.
Ceci est fondamental pour leur crédibilité, leur efficacité, leur pérennité, donc leur développement.
Le fond de commerce des moteurs est la fourniture d'informations de qualité aux internautes et rien d'autres.
Encore une fois, il est essentiel de ne pas confondre référencement et marketing.
En sachant tout de même que sans les millions de pages de référencement, contenu véritable des moteurs,les annonces spécifiquement publicitaires n'auraient pas d'impact puisque
personne ne viendrait sur ces pages.
C'est la logique des moteurs,c'est la chance des référenceurs.
Trois règles que je m'efforce d'appliquer :
1) Un site, son contenu, son référencement doivent être pensés, mis en forme, écrits pour les internautes et eux seuls. A terme, les moteurs s'adaptent, évoluent. Le temps est l'allié du référenceur mais il peut devenir son ennemi. Si l'impatience du référenceur le pousse à forcer, truquer les principes du référencement.
2) La sincérité du rapport entre contenu et mots-clés est essentielle.
A la limite, il ne devrait pas y avoir de différence entre les deux. Si pour faire connaître un article sur une découverte en biologie, le référencement triche en ratissant de façon non sincère, en intégrant des mots-clés sans rapport avec le contenu, ce n'est pas l'intérêt des internautes, donc pas l'intérêt des moteurs, donc pas celui des éditeurs de sites.
3) L'environnement "culturel" et sémantique.
Un site, en plus d'être un fournisseur unique d'informations pour les internautes, se doit d'être un carrefour informatif précis et large sur les sujets dont il traite. Les liens entrants et sortants doivent impérativement créer une cohérence éditoriale, une référence sur un sujet. Pour en revenir à l'exemple de l'article sur la découverte en biologie, le réseau créé par les liens entrants et sortants, internes et externes du site, doit donner de l'information complémentaire, et ne pas envoyer sur des sites de collectionneurs de modèles réduits par exemple. C'est vrai pour les liens entrants aussi, évidemment.
Ceci oblige le référenceur à connaître, analyser l'environnement sans systématiquement considérer les concurrents comme des importuns à éliminer mais davantage comme des collaborateurs à intégrer.
Créer un site, c'est d'abord partager, faire connaître des contenus.
Ce n'est pas d'arriver le plus rapidement possible en haut des listes, même si c'est l'objectif de long terme.
Le long terme, donc le temps, est l'allié du référenceur. Je le redis. Ou son ennemi, pour les impatients.
On peut écrire avec des contraintes très lourdes, mots obligés, répétitions, récurrence, synomymes etc...tout en produisant du sens et du "beau"( beau : au sens de la tradition philosophique).
Voilà une idée qui me rappelle quelquechose et qui peut servir.
Chapître 2
Le nombre de réactions à mon article sur le parcours d'un novice, m'a impressioné. J'en remercie chacun. Je ne m'attendais pas à tant. Cela prouve l'éfficacité de WRI.
J'ai mis en ligne un site, et je vais en mettre d'autres en domaine ou sous-domaine complémentaires et en adéquation avec le premier. Cela me permet de hiérarchiser mes travaux et de les exposer plus largement, plus logiquement.
De rendre l'arborescence plus clair, plus pratique, et, pour l'avancée de mon travail, et, pour la navigation et le bien-être des utilisateurs.
Mes travaux à exposer tournent autour de l'écriture et la peinture.
Le premier site est centré sur mon activité générale,c'est la plate-forme autour de laquelle s'articule les autres sites.
Les autres seront plus spécifiquement axée sur les créations récentes, en matière de peinture et d'écriture.
L'idée générale qui me guide : est de créer une sorte de "site-oeuvre", où tout ce que je souhaite publier soit exposé. Comme dans une galerie avec plusieurs pièces, une librairie etc...
La totalité des compartiments du site est en accès libre. J'ai fait, l'expérience de zone payante, avec mot de passe etc... Ce fut un échec. En partie parceque c'était trop compliqué. Mais en partie aussi parceque, cela n'est pas l'esprit Internet, du moins dans la sphère de la culture et de l'art.
La question économique est un sérieux problème pour ce genre de site. C'est vrai. J'y reviendrai.
Je me propose, donc, de tenir ici, le "journal" de l'évolution de mes sites et du positionnement de combinaisons de mots-clés : par exemple : "peintre,écrivain". Axe de communication de mon identité professionnelle et artistique.
A titre d'exemple cette combinaison : peintre écrivain arrive après une dizaine de jours de mise en ligne, en 12eme position sur Google sur un total de résultats de 2980000. Alors que le combinaison écrivain peintre n'arrive que 128eme sur environ 2500000 résultats.
J'ai eu la surprise de le voir, 3 ou 4 jours après, arriver en 1ere page. En fait 2 pages,réalisations/html et /index.html, sont indéxées avec des positionnements différents. Peut-être ces positionnements reculeront-ils?
Quelques conseils directement issus de mon expèrience très récente.
1) Lire des ouvrages de base, livres ou revues sur l'histoire d'internet. Ceci afin de connaître, sinon le sens exact, du moins avoir une idée de, par exemple : DNS, FTP, PR, URL, backlink, balises, protocoles,IP...Tous ces mots sont expliqués dans le lexique de WRI.
2) Se familiariser avec avec le langage HTML et CSS. Même en travaillant avec un logiciel de création de sites, cela permet de comprendre ce qui se passe.
Et si vous faîtes appel à des spécialistes, de discuter des propositions techniques. Ainsi de créer un site aux fonctionnalités nécéssaires mais suffisantes à vos besoins.
Je reviens d'un mot sur le html et le CSS, au début, cela apparaît totalement abscons. Il est vrai qu'il faut s'y faire. Mais ce n'est pas si compliqué que cela. Le CSS non-plus qui permet de donner la patte, le design à votre site.
Personnellement j'écris tout le code, avec un petit éditeur de code très pratique, très connu et gratuit.
3) Choisir avec le plus grand soin son hébergeur. Cela peut faire évoluer votre entreprise de création vers le cauchemar ou vers une activité plaisante.
Il existe des sites de guide comparatif d'hébergeurs, je m'y suis fié, je ne le regrette pas.
4) Dans les forums de WRI, vous trouverez des réponses à la plupart des questions. Lisez aussi, les glossaires, les lexiques. Et si vous ne comprenez pas, inscivez vous aux forums. Les Wrinautes vous répondront.
Je ne suis pas là, pour faire la publicité de WRI, j'ai découvert ce site, il y a un mois, il m'a été utile, très utile. C'est tout. Je lui retourne le service.
5) Prendre son temps, tester, observer, refaire.
Tout le monde sait-il, par exemple, que lorsque vous êtes sur un site, dans la barre en haut dans le menu "Affichage", en cliquant sur "voir code source" vous voyez effectivement le code intégral d'une page?
L'indexation, donc le référencement, donc le positionnement, ne sont pas magiques. Ils sont le résultat de l'écriture des pages HTML. C'est la base.
Après, a mon avis, il s'agit davantage de communication voire de marketing (ce qui n'est pas une mince affaire non-plus)
Pour conclure provisoirement,
Comme Hercule Poirot, je conseille de, toujours, faire marcher "ses petites cellules grises". De rester maître de son projet, dans le plus de domaines possibles.
Et de prendre son temps. Le temps n'est pas une variable. Si on le bouscule, il se venge et fait très mal.
Amicalement à tous
Dominique Nugues