Sergey Brin et Larry Page dans Playboy !

Olivier Duffez (admin)
Membre du personnel
Le numéro de Septembre est déjà prêt... juste avant l'IPO, Playboy fait un gros coup de pub.
WRI a déniché pour vous la couverture. Soyez rassurés, les Google Guy ne sont pas nus (ils ne sont pas rugbymen...)

playboy-google1.jpg
 
Olivier Duffez (admin)
Membre du personnel
Michel a dit:
:D merci Olivier
je cours chez le libraire passer commande...
tu peux même le faire en ligne, mais je ne vais pas te filer l'URL ici, on va se demander ce qui se passe sur ce forum :lol:
 
WRInaute discret
Par contre la mignonne ... elle le fait bien ...


2 hommes => 2 milliards d usd nus ...
c est un gros coup pour playboy ...
 
Membre Honoré
erf

Que va dire la copine et les amis si je prend ce magazines .. le référencement se perverti-t-il ? :lol:

Sinon aucune option de le lire online sur leurs site ou autre ? :oops:
ps : sinon combien sa coute ? :cry:
 
WRInaute impliqué
eh franchement, vous êtes graves !
Perso, j'en ai rien à foutre de ces gars-là. Franchement, vous vous intéressez autant au PDG de votre banque ou de votre marque de yaourts favoris ?
C'est du même niveau...
 
WRInaute impliqué
Ouais c'est super. Vive les riches !
Tu sais y'a pas de secret : s'ils sont aussi riches, c'est parce que ce sont un peu des blaireaux qui pensent qu'ils valent plus de 1000x mieux que leurs employés. C'est des Billou en herbe, faut pas se leurrer...

Edit :
Quoique 1000x ca fait encore de leurs employés des millionnaires :
"As the Californian company prepares to float on New York's Nasdaq market, in an initial public offering that will value the firm at as much as $36.3bn (£19.7bn), hundreds of the company's 2,292 staff will suddenly find they are, at least on paper, millionaires."
 
WRInaute passionné
L’interview de « Playboy »

le résumé pour ceux qui veulent

L’interview de « Playboy »

Cet article a été réalisé dans la cafétéria du Googleplex. Kim Kulish, un journaliste du journal de charme « Playboy », interviewe Larry Page, un des cofondateurs de Google.


Mise en évidence du problème


Dans cette interview, M. Page met en évidence les problèmes posés par un système hiérarchique classique. Des employés sont dirigés par des ingénieurs qui sont eux-mêmes dirigés par d’autres ingénieurs, et ainsi de suite. Cette structure implique que les contacts entre employés et dirigeants sont très difficiles voir inexistants.

La politique de Google

Pour pallier ce problème, Google a décidé de mettre en place un système de petites équipes dirigées chacune par un ingénieur. De plus, l’ingénieur ne se contente pas de diriger l’équipe, mais il participe lui aussi activement aux projets.

Cette structure permet à Google de gérer des centaines de petits projets. Chaque projet étant réalisé par trois ou quatre personnes. Ainsi, cette méthode de travail permet une grande modularité dans la gestion des projets. En effet, si un projet va dans la mauvaise direction, il sera plus facile de le remettre dans la bonne direction.

De plus, les gens ont plus de responsabilités et se sentent plus valorisés au sein de l’entreprise. Ceci permet de garder une bonne ambiance de travail sans véritable relation de niveau hiérarchique entre les employés.

Les moyens mis en œuvre pour y arriver


Pour arriver à gérer ce système, Google a mis en place tout un panel de logiciels de gestion de projet. De plus, chaque semaine, un mail est envoyé à chaque employé pour qu’il fasse un rapport des travaux réalisés durant la semaine. Ce système facilite grandement la communication dans l’entreprise et permet aux dirigeants de savoir à tout moment ce qu’il se passe dans la société.

En conclusion, cet article donne des informations sur la politique interne de Google. Ces dernières vont à l’encontre des lois de la SEC. En effet, cet organisme impose une période de silence durant laquelle Google n’a pas le droit de diffuser des informations autres que celles de son prospectus. Cet article est donc synonyme de risque quant à l’entrée en Bourse de Google.
 
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