Peut-être RIM comme troisième larron ?Tristetaupique a dit:Nous faudrait deux ou trois acteurs qui se tirent la bourre
Research In Motion (RIM), le concepteur du BlackBerry, doit dévoiler aujourd'hui un nouveau combiné à écran tactile qui rivalisera avec l'iPhone d'Apple.
RIM, dont le siège est à Waterloo en Ontario, lancera son modèle 9800 lors d'une conférence de presse avec l'opérateur AT&T à New York, à 10 h 30.
Ma rengaine préférée : le Champ de distorsion de la réalitéfredfan a dit:Par contre les possesseurs d'iphone sont plus accros à leur OS que les autres.
SourceLe Champ de distorsion de la réalité (CDR) est un terme du jargon de l’industrie informatique, et désigne l’effet que le fondateur d’Apple, Steve Jobs, a sur les personnes qu’il côtoie : employés, clients, fournisseurs, journalistes, etc., et qui les fait voir la réalité avec les yeux de Jobs.
Par exemple, en sa présence, les employés d’Apple seraient poussés à annoncer des délais d’achèvement irréalisables. Le CDR a des effets comparables à ceux d’un champ magnétique, mais dans les esprits. L’expression est attribuée à Bud Tribble, qui dit la tirer de Star Trek1 (en fait, si le style de l'expression ressemble à un buzzword de Star Trek, l'expression est inconnue de Memory Alpha), et date de 1981 : il l’invente pour décrire le charisme de Jobs et ses effets sur les équipes travaillant au développement du premier Mac, leur faisant croire à ce qu’ils faisaient et leur faisant abattre des montagnes de travail pour mener le projet à bien. La plupart des personnes sont conscientes de l’effet, mais ne peuvent lutter contre, et finissent par l’accepter, les effets du charisme de Jobs s’estompant lorsque celui-ci s’éloigne, comme s’il était réellement entouré d’un tel champ.
Plus tard, l’expression est utilisée pour décrire la dévotion des utilisateurs de Macintosh. Le CDR décrit le fait que Steve Jobs semble capable de convaincre n’importe qui de croire n’importe quoi, grâce à un mélange de charme, d’exagération modérée, et de marketing consommé.
De même, en 2007, l'expression a été utilisée pour commenter le fait que le patron d’AT&T a signé le contrat de distribution de l’iPhone, qui comporte pour Apple des avantages que n'avait encore obtenu aucun constructeur, sans voir le produit2.
L’expression est parfois utilisée pour d’autres dirigeants d’entreprises des industries high-tech, essayant de passionner leurs employés pour leurs projets, sans considérer du tout la concurrence.