Ce n’est malheureusement pas un fake, ni un hoax.
Bien que la lutte contre le piratage soit louable, les dérapages qui l’accompagne, ne le sont pas, eux. Et c’est un dérapage que les États‑Unis préparent actuellement, et qui fait bouillir le web américain de colère. L’Europe n’est pas à l’abris, ni même le reste du monde.
Ce dérapage s’appel SOPA.
Il permettra de censurer des sites, sans aucun contrôle ni même sans que le moindre jugement ne soit nécessaire. Censurer et condamner sans procès et sans preuves, ce n’est plus de la justice, c’est de la censure.
Plusieurs sites américains sont aujourd’hui en blackout, pour protester et faire prendre conscience à l’internaute lambda (et pas seulement aux geeks) que la situation est grave que ce n’est plus de la fiction.
Les sites américains suivants, sont actuellement en blackout ou affichent un message de protestation :
Vous ne les connaissez pas tous, normal, mais vous connaissez certainement Google, FaceBook et Wikipédia, qui sont concernés.
Cette loi pourra faire censurer des sites comme YouTube et WikiLeaks, qui semblent déjà visés.
Voici ce qu’affiche actuellement la version anglaise de Wikipédia :
sopa-wikipedia-blackout.png
Voici ce qu’affiche actuellement la version anglaise de Google :
opa-google-protest.png
La situation est si grave, que l’on voit protester des grands groupes tels que ceux indiqués dans la précédente liste, qui ne sont ni des rigolos bloggeurs inconnus, ni des anarchistes douteux.
La loi n’est pas encore passée, et c’est avant qu’elle ne passe qu’il faut agir, pas quand il sera trop tard !
L’Europe n’est pas à l’abris, une loi tout à fait similaire, nommée IPRED est déjà dans les cartons.
Le reste du monde ne l’est pas non‑plus, car non‑seulement le web est globale et la censure dans un pays peut toujours impacter le reste du monde, mais aussi parce que cela ira dans le sens de la censure déjà existante dans quelques régions du monde, comme la Chine.
Pourquoi agir alors que cette loi concerne pour l’instant les États‑Unis ? Réponse : parce que avec le grand réseau, tout comme avec l’économie ou l’environnement, la réalité est globale et ne s’arrête pas au nombril de chacun(e). Il est légitime en temps que français(es) Europén(ne)s, de vous sentir concerner par cette affaire américaine et de les soutenir dans leurs protestations.
Soutenez la révolte, en signant la pétition de rejet :
Signez la pétition : Sauvons l'Internet mondial (avaaz.org)
Elle totalise actuellement, 1 million 300 milles signataires. L’objectif et pour l’instant d’atteindre les 1 million 500 milles. Aller au delà encore ne serait pas du luxe !
Faites passer sur vos blogs, vos profils sociaux, vos sites et vos forums.
Note : en plus de permettre la censure du web sans aucun contrôle, cette la loi rendra illégale tous les système assurant que vos communications et échanges sur Internet ne peuvent pas être écoutés par des tiers, comme les VPN (Virtual Private Network, c’est à dire Réseau Privé Virtuel), que des activistes commençaient à utiliser.
Bien que la lutte contre le piratage soit louable, les dérapages qui l’accompagne, ne le sont pas, eux. Et c’est un dérapage que les États‑Unis préparent actuellement, et qui fait bouillir le web américain de colère. L’Europe n’est pas à l’abris, ni même le reste du monde.
Ce dérapage s’appel SOPA.
Il permettra de censurer des sites, sans aucun contrôle ni même sans que le moindre jugement ne soit nécessaire. Censurer et condamner sans procès et sans preuves, ce n’est plus de la justice, c’est de la censure.
Plusieurs sites américains sont aujourd’hui en blackout, pour protester et faire prendre conscience à l’internaute lambda (et pas seulement aux geeks) que la situation est grave que ce n’est plus de la fiction.
Les sites américains suivants, sont actuellement en blackout ou affichent un message de protestation :
- Wikipedia EN
- Les sites des Anonymous
- XDA developers
- JcFrog
- GOG
- Boing Boing
- Destructoid
- Avast
- Tucows
- Mozilla
- Mojang (Minecraft)
- RageMaker
- Twitpic
- Identi.ca
- Red 5 studios
- Le réseau Cheezburger
Vous ne les connaissez pas tous, normal, mais vous connaissez certainement Google, FaceBook et Wikipédia, qui sont concernés.
Cette loi pourra faire censurer des sites comme YouTube et WikiLeaks, qui semblent déjà visés.
Voici ce qu’affiche actuellement la version anglaise de Wikipédia :
sopa-wikipedia-blackout.png
Voici ce qu’affiche actuellement la version anglaise de Google :
opa-google-protest.png
La situation est si grave, que l’on voit protester des grands groupes tels que ceux indiqués dans la précédente liste, qui ne sont ni des rigolos bloggeurs inconnus, ni des anarchistes douteux.
La loi n’est pas encore passée, et c’est avant qu’elle ne passe qu’il faut agir, pas quand il sera trop tard !
L’Europe n’est pas à l’abris, une loi tout à fait similaire, nommée IPRED est déjà dans les cartons.
Le reste du monde ne l’est pas non‑plus, car non‑seulement le web est globale et la censure dans un pays peut toujours impacter le reste du monde, mais aussi parce que cela ira dans le sens de la censure déjà existante dans quelques régions du monde, comme la Chine.
Pourquoi agir alors que cette loi concerne pour l’instant les États‑Unis ? Réponse : parce que avec le grand réseau, tout comme avec l’économie ou l’environnement, la réalité est globale et ne s’arrête pas au nombril de chacun(e). Il est légitime en temps que français(es) Europén(ne)s, de vous sentir concerner par cette affaire américaine et de les soutenir dans leurs protestations.
Soutenez la révolte, en signant la pétition de rejet :
Signez la pétition : Sauvons l'Internet mondial (avaaz.org)
Elle totalise actuellement, 1 million 300 milles signataires. L’objectif et pour l’instant d’atteindre les 1 million 500 milles. Aller au delà encore ne serait pas du luxe !
Faites passer sur vos blogs, vos profils sociaux, vos sites et vos forums.
Note : en plus de permettre la censure du web sans aucun contrôle, cette la loi rendra illégale tous les système assurant que vos communications et échanges sur Internet ne peuvent pas être écoutés par des tiers, comme les VPN (Virtual Private Network, c’est à dire Réseau Privé Virtuel), que des activistes commençaient à utiliser.