Analyse et synthèse sur le phénomène Deezer

WRInaute occasionnel
intéressant! Au lieu de la conclusion : "Pour conclure, le cas Deezer est vraiment une des affaires à suivre concenrnant l’évolution du net, car permet de connaître enfin de la rencontre sur le terrain entre la loi, le marché et les pratiques des acteurs du net. Et peut être ainsi de mieux comprendre la portée considérable dans notre vie quotidienne de la révolution numérique dont les conséquences sont tout sauf virtuelles."
je dirais plutôt que le legislateur nous casse vraiment les bonbons et qu'il vaut mieux l'ignorer en attendant que ca lui passe!
 
WRInaute passionné
Ca rappele des souvenirs avec Napster.
Décidemment, l'industrie du disque s'accroche comme elle peut à son modèle économique qui est pourtant largement dépassé.
Ca commence sérieusement à saouler toutes ces institutions associées aux lobbies qui entravent le progrès.

Vive Deezer !
 
WRInaute discret
Bonjour les jeunes,


l'industrie du disque s'accroche comme elle peut à son modèle économique
- Cela va de pair avec l'incapacité des grosses maisons de disques à détecter de nouveaux talents. Certes, ils ont fini par signer Olivia Ruiz et Mika, mais à priori, ils sont passés à côté d'eux alors qu'ils étaient sous leur nez. Encore quelques années et le paysage va se modifier.
 
WRInaute passionné
L'émergence de nouveaux talents est aussi causée par un outil Web. En l'occurence, c'est de MySpace dont il s'agit.
Si un artiste a du succès sur la communauté virtuelle, c'est un bon signe pour les maisons de disques.
MySpace est ainsi un excellent agent qualifiant.
Y a pas que du "mauvais" sur le Web pour cette industrie. Il faudrait qu'elle lâche un peu la grappe et ça ira encore mieux.
 
WRInaute discret
Salut et merci pour les posts et liens sur ces articles que j'ai écrit.

Je recite cet élément important :

echanges-liens a dit:
l'industrie du disque s'accroche comme elle peut à son modèle économique

effectivement tout est là, et surtout il est selon moi assez important de garder à l'oeil que la loi survient quand il y a intérêt économique puisque c'est ce qui subordonne tout le reste actuellement.

Or on voit bien avec Deezer que quand les poids lourds du marché y ont intérêt, les feux rouges commencent à fleurir sur le net. Et que plus ça va aller, plus les interventions des pouvoirs réels vont s'immiscer dans cet espace de liberté.

Pour autant cette analyse tend à démontrer que la créativité peut permettre de perdurer, à la condition de garder à l'esprit qu'une loi peut tout remettre en cause du jour au lendemain. Et donc de ne jamais oublier la problématique juridique. C'est juste une petite gymnastique à entretenir.
 
WRInaute passionné
Tout à fait !
Si tu fais un parralèle avec le pillage d'images et de contenu, personne n'en fait un pêt foireux. Pourtant, ça touche au même droits.
Si je ne m'abuse, la propriété intellectuelle date de l'époque de Molère. Il serait peut-être temps de l'adapter à notre époque. Je ne dis pas que les artistes doivent travailler gratuitement ou que j'ai la solution, mais les freins posés par les "poids lourds du marché" (pour reprendre ton expression) sont inadmissibles (en tout cas depuis notre point de vue).
 
WRInaute accro
Comme tu le disais plus haut, ce sont les maisons de disques qui n'ont pas vraiment suivi...
D'ailleurs la plupart des artistes connus commencent à les quitter pour se débrouiller tout seul en signant par exemple des partenariats avec Apple.

Pour moi il y a une chose qui est claire, la musique est trop chère lorsque ce sont les maisons de disques qui gèrent ça. Les jeunes artistes proposent généralement des prix plus justes (10 à 15€ le CD).

L'industrie de disque se casse la figure d'une part à cause de la qualité exécrable des productions (Star Ac' & co) et aussi à l'évolution du marché depuis 10 ans, ils viennent seulement de comprendre que le net un bon moyen de faire de l'argent. Déjà à l'époque de Napster on voyait un nouveau modèle économique mais comme ils ont tout fait pour conserver le format CD (qui pour moi est obsolète), ils ont démolis les plus grands acteurs de ce secteur et aujourd'hui il n'y a plus que quelques plateformes dont beaucoup d'Internautes ne veulent pas entendre parler...

Cette mode des verrous numériques est aussi un frein, à l'époque on enregistrait des vynils sur K7 mais c'est pas pour autant qu'ils n'en vendaient pas, il faut dire qu'un disque se payait 10 Francs à l'époque...

Ce qui est encore plus rageant pour le consommateur, c'est de savoir que les coûts de productions matériels et sonores ont été divisés par 10 ces dernières années (home studio, fabrication CD) mais parallèlement la musique se vendait de plus en plus chère.

Pour moi, il est évident que les maisons de disques vont disparaitre en faveur de sites communautaires où tout le monde peut devenir star !

Ce marché n'évoluera pas dans le sens des maisons de disques mais par contre sur le web il y a je pense un énorme potentiel financier du moins je l'espère car j'ai pas mal parié là dessus...
 
WRInaute discret
Je suis d'accord avec les deux derniers posts, mais je voudrais si vous le voulez bien aller plus loin dans la question de légalité, pas par fixette, mais parce que l'enjeu dépasse bien le fait de faire de la thune pour la thune, au risque de ne pouvoir parier à bon escient sur le moyen-long terme.

En effet, parce que le web invite au partage des connaissances et des outils, il peut paraître normal que tout un chacun considère légitime que l'on puisse s'échanger gratuitement la musique au même titre que les logiciels.

Il faut cependant ne pas oublier une différence fondamentale : le logiciel s'il constitue bien une oeuvre n'a pour autant qu'une vocation fonctionnelle et utilitaire, quand l'oeuvre musicale de l'artiste se distingue par son caratère unique et pour ce qu'il jette un regard particulier et intime sur la condition de l'homme (bon c'est sûr pas forcément le dernier tube de la starac :lol: )

Il est donc indispensable et vital de trouver un nouveau moyen d'assurer la protection de ces droits d'auteur, ou plutôt de les révolutionner en accord avec les principes du fonctionnement numérique, et tout en ayant toujours bien à l'esprit que ce droit ne doit pas être, pour le producteur, de continuer à se faire du pognon sur le dos des dociles consommateurs que nous étions jusqu'à l'avénement du web.

Et ce qui est absolument choquant aujourd'hui, c'est le manque total de réflexion politique sur cette question de la protection des droits de l'artiste alors qu'ils sont prompts à réagir quand les intérets économiques des big boss de la production musicale sont en jeu.

Surtout il n'appartient qu'aux juristes qui jusqu'ici n'interviennent que mandatés et grassement rémunérés par ces grosses légumes, d'intervenir pour trouver les modèles légaux qui s'acorderont avec les modèles économiques du web.

Car il ne faut tout de même pas oublier que sans règle, c'est le bordel assuré à plus ou moins long terme, ne pouvant compter uniquement sur l'éthique des relations entre utilisateurs.

http://www.labo.atypicom.fr
 
WRInaute passionné
Bien sûr qu'il faut des règles et surtout des moyens pour rétribuer les artistes. Mais je crois surtout que les artistes vont pouvoir se passer des maisons de disques.

Je lisais une interview des fondateurs de Deezer dans SVM Mac et c'est intéressant d'apprendre que la totalité des artistes qui ont contacté Deezer l'ont fait pour demander comment être présent sur le site.

Les modèles économiques sont encore flous (pub pour Deezer), mais le segment va bien trouver sa voie pour s'ouvrir à un vrai paliatif aux moyens "anciens" de diffusion de la musique.

En tout cas, il est temps que des solutions plus viables qu'eMule ou Limewire se mettent en place durablement.
 
WRInaute accro
Audiofeeline a dit:
Cette mode des verrous numériques est aussi un frein, à l'époque on enregistrait des vynils sur K7 mais c'est pas pour autant qu'ils n'en vendaient pas, il faut dire qu'un disque se payait 10 Francs à l'époque...
il y a 20 ans, même le 45 tour était plus cher (dans les 20 FF), le 33 T valait entre 50 et 80 FF quand même.
L'avènement du CD a permis de baisser ce prix tout au début
 
WRInaute discret
bonjour,

il ne fait aucun doute qu'un nouveau modèle financier va voir le jour sur le web. Pour l'instant, cela tâtonne, mais le jour où ce modèle sera trouver, il y aura certainement de gros changements.

J'en profite pour saluer comme il se doit www.labo.atypicom.fr
(bravo pour les articles)
 
WRInaute accro
Tiens ? Un fil zizik, chouette :)
Allez, ça tombe sur Audiofeeline !

Audiofeeline a dit:
Comme tu le disais plus haut, ce sont les maisons de disques qui n'ont pas vraiment suivi...
D'ailleurs la plupart des artistes connus commencent à les quitter pour se débrouiller tout seul en signant par exemple des partenariats avec Apple.

Il ne faut pas croire qu'en s'affranchissant des éditeurs les stars déjà confirmées oeuvrent dans le même sens que toi : elles peuvent grâce au web se passer des éditeurs et des distributeurs ... et gagner plus.

Audiofeeline a dit:
Pour moi il y a une chose qui est claire, la musique est trop chère lorsque ce sont les maisons de disques qui gèrent ça. Les jeunes artistes proposent généralement des prix plus justes (10 à 15€ le CD).

Chez Sony-DADC, c'est en gros 1000 € les 1000 exemplaires avec sérigraphie quadri, livret de huit pages quadri, boîtier et blister.
Un € par CD, oui ?
Tu trouves que le vendre 10 à 15 fois ce prix c'est correct ?
Encore une fois c'est pour augmenter la marge des auteurs et se passer des éditeurs :)
Ces éditeurs qui paient le studio, les avances, la promo et qui organisent la distribution.
Sur le studio, tu peux gagner, sur la distribution aussi mais pour créer chez le public l'envie qui fera le succès ... tu repasseras.

Audiofeeline a dit:
L'industrie de disque se casse la figure d'une part à cause de la qualité exécrable des productions (Star Ac' & co) et aussi à l'évolution du marché depuis 10 ans, ils viennent seulement de comprendre que le net un bon moyen de faire de l'argent. Déjà à l'époque de Napster on voyait un nouveau modèle économique mais comme ils ont tout fait pour conserver le format CD (qui pour moi est obsolète), ils ont démolis les plus grands acteurs de ce secteur et aujourd'hui il n'y a plus que quelques plateformes dont beaucoup d'Internautes ne veulent pas entendre parler...

Question qualité, on est d'accord : c'était généralement mauvais et ça ne s'améliore pas.
La verticalisation de la chaîne pour produire des stars jetables est un crime contre l'art.
En même temps, si on veut laisser sa chance à tout le monde, il faut faire de l'évanescent. Ou alors tu m'expliques.

Question lucidité des majors : on s'en fiche, ils s'adapteront ou bien ils seront remplacés. Les actions, ça change de boîte.

Question obsolescence du CD : perso, j'adore avoir l'objet et je ne paierai jamais pour un fichier.
Et ça ne m'intéresse pas d'avoir l'intégrale de Mozart sur un DVD (+-148 LP).
Le fichier musical, c'est la mort de la collection.

Audiofeeline a dit:
Cette mode des verrous numériques est aussi un frein, à l'époque on enregistrait des vynils sur K7 mais c'est pas pour autant qu'ils n'en vendaient pas, il faut dire qu'un disque se payait 10 Francs à l'époque...
Les verrous, c'est un des sursauts de l'industrie traditionnelle.
Mais il ne faut pas les prendre pour des idiots : ils savent qu'aucun code n'est inviolable.
C'est juste pour gagner du temps ... et jouer leur rôle.

Audiofeeline a dit:
Ce qui est encore plus rageant pour le consommateur, c'est de savoir que les coûts de productions matériels et sonores ont été divisés par 10 ces dernières années (home studio, fabrication CD) mais parallèlement la musique se vendait de plus en plus chère.
Ce n'est pas spécifique à la musique : voir les voitures.
Quand tu produis et que tu réalises des économies d'échelle, tu n'es pas obligé de les répercuter chez l'acheteur.

Audiofeeline a dit:
Pour moi, il est évident que les maisons de disques vont disparaitre en faveur de sites communautaires où tout le monde peut devenir star !

Tout le monde ne peut pas devenir une star ... ou alors, pour dix minutes et je doute que ce soit satisfaisant.
Le peuple a besoin des stars pour rêver.
Un éditeur, un major, ça sert à entretenir le star-system : buzz sur les stars du passé et du moment, installation des stars de demain.
C'est un boulot gigantesque que la programmation de leurs artistes dans les médias, et cela coûte très cher.
Depuis dix ans, les majors usent jusqu'à la corde les ressources de leurs vieux catalogues ... et tu ne fais guère mieux si j'en crois la home de ton site où je trouve bien peu de jeunes talents à découvrir :)

C'est sur Jamendo que je trouve le plus de créativité.
Et pour parler de créativité, dans un récent salon d'instrument de musique où il était permis de toucher le mathos, 50% des demandes allaient vers le matériel pour dj : remixer, remixer, remixer ... faire du neuf avec du vieux :)

Audiofeeline a dit:
Ce marché n'évoluera pas dans le sens des maisons de disques mais par contre sur le web il y a je pense un énorme potentiel financier du moins je l'espère car j'ai pas mal parié là dessus...

Pour faire des stars, il faut une sélection et cette sélection n'a jamais été celle du peuple mais celle des éditeurs.
Pour faire des stars, il faut formater aussi bien le goût du public que la production des artistes.
Le Web n'y changera rien.

Les intervenants changeront sans doute de masque mais le système ne bronchera pas.
Il faut de l'argent, on ne sort pas de là.

Et si tu parles de pulvériser le star-system ... il y aura bien moins de candidats mais toujours trop :)
Mais c'est la vraie solution : reformater les esprits, y compris celui des candidats-stars.
Il y a toujours eu quantité d'auteurs et de groupes qui sont restés presque totalement inconnus sauf de leurs fans ... et qui entendent bien le rester.
Certains percent parfois, le temps d'un hit ou d'une BO ... et puis quoi ?
Ils ne veulent pas devenir esclaves, ni jouer le même morceau jour après jour, toute leur vie.
Ils n'ont même pas besoin du Web ! :)

Enfin-bon, je comprends tes rêves mais je crains que tu n'imagines pas l'inertie du système, ni sa cruauté.
Si c'est pour le remplacer par le même avec des majors de l'informatique à la place des anciens, je n'en vois pas l'intérêt.
 
WRInaute discret
Bonjour,

En espérant surtout que ces articles font oeuvre utile!

Bien entendu qu'ils sont utiles. Je sais qu'ils sont nombreux ceux qui souhaitent s'informer sur tous les éléments nouveaux qui touchent à la musique et à ses modèles financiers actuels ou futurs.
 
WRInaute discret
Szarah

Enfin-bon, je comprends tes rêves mais je crains que tu n'imagines pas l'inertie du système, ni sa cruauté.
Si c'est pour le remplacer par le même avec des majors de l'informatique à la place des anciens, je n'en vois pas l'intérêt.

Froide lucidité venant en conclusion d'une remarquable analyse sur les dessous de ce système "industriel", qui est à l'image de notre Société au demeurant.

Reste que le web propose des alternatives crédibles sans précédent dans l'histoire avec des fondations type wykipédia, dont on prétend la mort inéluctable chaque année qui passe, et qui pourtant ne s'est jamais aussi bien portée, et comme nombre de systèmes communautaires fondés sur des modèles économiques alternatifs devenant pour certain eux mêmes de plus en plus crédibles.

Foin d'angélisme ni d'optimisme borné, mais tout de même, si le web arrive à faire rimer indiviualité et responsabilité quand cette dernière composante est aussi gage de crédibilité, on peut aujourd'hui imaginer avec quelque espoir que les majors et autres sources de pouvoir ne réduiront pas cet espace à ce que sont devenus dans le réel nos Etats nations en crise.
 
WRInaute passionné
Szarah a dit:
Tout le monde ne peut pas devenir une star ... ou alors, pour dix minutes et je doute que ce soit satisfaisant.
Le peuple a besoin des stars pour rêver.

Oh oui Szarah, fais moi rêver !
8)

Je ne fais que passer... C'est un sujet trop critique pour n'y passer que les 2 minutes que j'ai cet après-midi.
 
WRInaute accro
Tout à fait d'accord, surtout qu'il faut payer et bien souvent ne voir aucun retour. Exemple:

Votre chanson composé par vous même (qui etes à la sacem) passe en discothèque ou même au bal du village et bien vous ne verrez jamais la couleur d'un centime.

Les organisateurs paient des forfaits sur le prix de l'alcool et le nombre d'entrèes. La sacem ne sait absolument pas ce qui a été passé comme morceaux ...

Et le jour ou un joyeux label vous propose de l'argent pour presser une de vos productions la sacem recoltera gentillement l'argent en vous disant que vous toucherez les 3/4 dans 12 mois ...

etc etc ...

Et au passage contrairement à ce que beaucoup croient, il n'est pas obligatoire d'être à la sacem pour presser un disque.

Bonne fin de nuit :)
 
WRInaute accro
Leonick a dit:
L.Jee a dit:
Et au passage contrairement à ce que beaucoup croient, il n'est pas obligatoire d'être à la sacem pour presser un disque.
un petit article dessus http://biname.propagande.org/mp3.php
Belle démonstration pour illustrer que l'esprit de la liberté artistique souffle encore ... et qu'il ne manque pas d'air !
Mais il est juste que je fasse suivre par cette démonstration du réalisme dont j'ai parlé plus haut :
http://propagande.org/soutien/
 
WRInaute accro
Leonick a dit:
il souffle d'autant plus ce vent de liberté, qu'ils ont fait ces dernières années la "defaite de la musique", manifestation déclarée auprès de la préfecture le jour même de la "fête de la musique" :lol: http://concerts-team.propagande.org/
Et un autre lien sur Comment réaliser une autoproduction ? http://lachips.free.fr/autoprod/index.htm
Vi, il manque juste un lien Comment réussir une autodistribution pour écouler 50.000 exemplaires en six mois :)
C'est trop facile, d'éviter de parler des vrais problèmes. Créer, enregistrer et presser, ce n'est vraiment plus le problème.
L'underground a toujours bloqué sur la distribution.

Edit : Allez, une analogie bien dans le ton.
C'est comme si on se contentait ici d'expliquer comment construire un site en éludant la question du référencement ... dont tout le monde sait qu'elle est essentielle ! C'est pile-poil pareil.
 
WRInaute accro
C'est vrai que ce lien sur l'autoprod date du début du siècle.
Mais c'est vrai que l'underground a très bien réussit, bien avant les autres, à utiliser le bon outil de diffusion de l'information qu'est internet, cela remplaçait largement les flyers distribués en sorties de concerts, mais malheureusement, il n'ont pas vraiment réussit le tournant du net de ces 2-3 dernières années, puisque maintenant, vu la quantité de sites, il ne suffit plus d'exister, il faut le faire savoir.
Sinon pour la distribution, il y a déjà ça http://www.folkloredelazonemondiale.fr/mailorder/
 
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