On se demandait où en était le fameux dossier sur l'abus de position dominante de Google auprès de la Commission européenne.
On vient d'avoir une réponse du Commissaire concerné au Parlement: en gros, Google aurait fait de nouvelles propositions que le commissaire juge positives. Le commissaire espère boucler cette fois le dossier le printemps prochain.
http://www.itespresso.fr/dossier-antitrust-google-commission-europeenn ... 68527.html
Ne vous y trompez pas, ledit commissaire répète la même chose à peu près tous les 6/8 mois (reportant évidemment d'autant l'échéance). Et, il sort de charge au printemps prochain ! Ce qui est connu des propositions de Google ne change fondamentalement pas grand-chose à la situation. Que du contraire, entretemps, Google s'est adapté et utilise des voies plus indirectes pour promouvoir ses services.
Bref, il y a deux jeux de dupes: l'un de Google vis-à-vis de la Commission européenne et l'autre du commissaire concerné vis-à-vis de l'opinion publique.
Voici un commentaire un peu moins "public relations" que le précédent:
http://www.latribune.fr/opinions/tribunes/20130905trib000783376/commen ... peen-.html
Mon sentiment est que, moyennant quelques concessions somme toute mineures, Google va, avec un tel accord (qui deviendrait légal), obtenir une base légale qui légitimerait tous ses abus.
On vient d'avoir une réponse du Commissaire concerné au Parlement: en gros, Google aurait fait de nouvelles propositions que le commissaire juge positives. Le commissaire espère boucler cette fois le dossier le printemps prochain.
http://www.itespresso.fr/dossier-antitrust-google-commission-europeenn ... 68527.html
Ne vous y trompez pas, ledit commissaire répète la même chose à peu près tous les 6/8 mois (reportant évidemment d'autant l'échéance). Et, il sort de charge au printemps prochain ! Ce qui est connu des propositions de Google ne change fondamentalement pas grand-chose à la situation. Que du contraire, entretemps, Google s'est adapté et utilise des voies plus indirectes pour promouvoir ses services.
Bref, il y a deux jeux de dupes: l'un de Google vis-à-vis de la Commission européenne et l'autre du commissaire concerné vis-à-vis de l'opinion publique.
Voici un commentaire un peu moins "public relations" que le précédent:
http://www.latribune.fr/opinions/tribunes/20130905trib000783376/commen ... peen-.html
Mon sentiment est que, moyennant quelques concessions somme toute mineures, Google va, avec un tel accord (qui deviendrait légal), obtenir une base légale qui légitimerait tous ses abus.