Un effet pervers des sites d’opinion de consommateurs, est que les consommateurs exprimant plus promptement leur mécontentement que leur satisfaction, on parle plus souvent sur le web des pires commerçants que des meilleurs. Et quand on parle d’un commerçant, inévitablement, des liens sont faits vers celui-ci.
D’où l’équation perverse : plus on parle de vous en mal, plus vous êtes référencés.
Un mauvais commerçant a même avoué publiquement appliqué cette stratégie, en toute conscience. Pour y remédier, Google suggère qu’il essaiera de déterminer le sens positif ou négatif d’un lien, et de tenir compte de ce qu’il appel l’e-réputation.
À lire ici (décembre 2010), commentaires ensuite : Référencement : l’e-réputation comme facteur de positionnement ? (blueboat.fr)
Mais comme souvent, les beaux discours de Google cache ce qui ne tourne pas rond :
D’où l’équation perverse : plus on parle de vous en mal, plus vous êtes référencés.
Un mauvais commerçant a même avoué publiquement appliqué cette stratégie, en toute conscience. Pour y remédier, Google suggère qu’il essaiera de déterminer le sens positif ou négatif d’un lien, et de tenir compte de ce qu’il appel l’e-réputation.
À lire ici (décembre 2010), commentaires ensuite : Référencement : l’e-réputation comme facteur de positionnement ? (blueboat.fr)
Mais comme souvent, les beaux discours de Google cache ce qui ne tourne pas rond :
- Comment garantir qu’il ne sera pas possible d’utiliser ce système pour couler indument un concurrent ?
- Qui assurera la défense des « accusés » ?
- Pourquoi ne pas suggérer au webmasters de ces sites, d’utiliser le rel=NoFollow qui met le bazar partout et aurait au moins ici une raison légitime d’être utilisé ?
- Quels dérapages et aberrations cela va t-il encore occasionner par effets de bords dans l’algorithme de Google ?